• -Eh, ça va Séléna ? S'inquiète Nicky, on a le même âge et même si, c'est mon grand-père qui m'a élevé, on est très proche.

    -Ca fait maintenant 16ans qu'il est décédé, marmonai-je, je suis triste, c'est vrai, je ne l'cache pas, mais je n'pleure pas, 16 longues années où j'ai grandi sans lui...

    Elle ne répondit rien, mais prit place à mes côtés.

    -C'est malin, maintenant j'ai l'air de servir à rien, lance-elle en boudant.

    -Dis pas n'importe quoi, tu es là, c'est c'qui compte. Elle sourit


    1 commentaire
  • Elle n'a jamais comrit pourquoi j'allai plus souvent sur la tombe de mon père que sur celle de ma mère, peut-être parc'que je n'ai pas été réellement élevé par ma mère.

    Mais elle resta ma mère et quand celle-ci a mis fin à son existance ça a été un choque, j'étais une petite fille de 6ans qui croyait encore au conte de fée...

    Un quart d'heure plus tard, Nicky et moi étions dans l'appartement qu'on loue ensemble.

    -On se fait une soiré télé ? Me demande-t-elle.


    2 commentaires
  • Moi... Moi... MOI !!

     Je souris mal grè la journée que je venais de passé. Je n'ai jamais eu de soeur, mais j'ai vraiment l'impresseion d'en avoir une.

    J'ai décidé d'aller dormir, histoire de penser à autre chose, il m'a fallut à peine 3minutes pour me rendre dans les bras de Morphée.

    FLASHBACK

    -J'ai couché la petite, elle dort, informe Harrison à sa femme, il faut que j'aille chez mon père quelques minutes. Il s'apprêta à sortir lorsque sa femme lui prit la main.


    votre commentaire
  • -Tu vas nul pars, ce soir j'ai envis d'un gros calin dans notre chambre, sourit-elle plein de sous-entendus en lui caressant la joue. Un homme comme Harrison, "on ne le laisse jamais s'en aller" disait-elle.

    -Mais...

    -Tutu tutu, y'a pas de mais, tu l'feras demain, t'as l'temps.

    -Bon d'accord, finit-il par cédés, ne s'opposant pas à l'idée cette femme qu'il aime tant, mais laisse moi poser le paquet dans le coffre du bureau.

    Puis il revint et prit sa femme dans ses bras aux grands envis de celle-ci.  


    votre commentaire
  • Après quelques heures, Harrison prit un patalon de sport posé sur sa chaise et sortit prendre l'air.

    A peine avait-il posé un pied en dehors de chez lui, qu'un homme sortit de nul part le prit par le col et le tint contre le mur.

    -Où est-elle ? Demanda-t-il d'un ton froid.

    -Je n'sais pas de quoi vous parler, lâchez-moi !


    1 commentaire